ILS ONT CHANGÉ DE VIE
GRÂCE A LA FORMATION
Découvre les parcours de nos élèves
Rejoindre la formation JC PIERI c’est accéder à vie à une plateforme unique en France où tu retrouveras TOUT ce que tu as besoin de savoir sur la Photo, la Vidéo et le Business.
Certains étaient au départ boulanger, étudiant, cadre ou même au chômage et ils l’ont fait. Pourquoi pas toi ?
Après avoir suivi la formation complète, ils ont pu se lancer avec succès dans une nouvelle activité professionnelle comme photographe, vidéaste ou les deux.
Clique sur les visages pour découvrir chaque parcours détaillé. Comme tu peux le constater, quelques mois ont suffi pour avoir de supers résultats !
JC Pieri Formation c’est un accompagnement par JC et toute son équipe.
Mais c’est aussi rejoindre une communauté de 5000 passionnés qui se motivent et s’entraident au quotidien.
Les témoignages des élèves de la formation
Julien A.
Son travail : julienarnoldmovie
Élève depuis mars 2022. Région parisienne.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
J’ai travaillé avant pendant plus de 20 ans comme commercial.
En 2021, j’ai déménagé hors de Paris et j’ai négocié une rupture conventionnelle avec mon employeur.
J’ai commencé à faire de la vidéo en 2013 quand ma femme m’a offert un drone à Noël. Après j’ai toujours aimé faire de la vidéo et de la photo en amateur avec mon iPhone.
J’ai rejoint la formation de JC en mars 2022 et j’ai loué un boîtier sur Lightyshare.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Au début j’ai mangé des modules puis j’ai passé du temps à faire des tests. J’ai essayé de me constituer un portfolio rapidement.
Je me suis tout simplement rapproché des petits commerçants autour de chez moi. J’ai créé une petite vidéo pour présenter une boutique avec une petite interview. Ensuite j’ai démarché la concession Audi à côté de chez moi pour faire une vidéo plus dédiée produit. Et il me manquait un petit event. J’ai cherché un event dans le coin. Je leur ai dit « est-ce que je peux vous faire une vidéo gratuite, moi j’en ai besoin pour mon portfolio je me lance ». Les 3 m’ont dit oui. J’ai livré les vidéos, j’ai communiqué dessus et après tout a commencé.
J’ai fait fonctionner mon réseau. La première personne qui m’a fait confiance, ça a été ma belle-sœur qui est directrice de Superga France et Sebago France. J’ai nourri mon portfolio avec les vidéos d’event et les photos produits que j’ai réalisé pour ces marques. Ce qui m’a permis de contacter d’autres connaissances qui sont dans d’autres sociétés (comme Biocoop France).
À partir de Novembre 2022 j’ai contacté tous mes clients pour dire « voilà les 2 premières semaines de janvier on prend des rendez-vous et on parle de l’année et de ce qu’on pourrait faire ensemble ». J’ai fait des devis à tous les rendez-vous et les devis se sont transformés en projet. À aujourd’hui j’ai signé jusqu’au mois de juin 50’000€ et j’ai autre un devis en négo à 40’000€.
J’ai signé pour des shootings avec un fabricant de jouet qui est parent d’élève dans la classe de ma fille. J’ai signé aussi avec la société Geb qui avait vu une de mes vidéos pour Gedimat. Ils voulaient faire 24 tutos pour présenter leurs colles et cartouches de silicone. On a 24 produits à filmer, on est sur un devis à 30’000€ car il y a 6 mois de travail. J’étais plus cher que tout le monde mais apparemment j’étais plus sympa donc tant mieux.
Aujourd’hui je vis assez bien et je n’ai vraiment pas à me plaindre. Comme j’avais fait une rupture conventionnelle j’ai pu avoir le choix d’avoir le chômage qui me sert à payer mes factures personnelles à la maison.
En moins d’un an j’ai investi dans tout le matériel qui englobe le métier d’un photographe et vidéaste.
À partir de juillet 2023 je commence à me payer, on devrait être sur une base de 2 ou 3000€ on est en train de discuter avec mon comptable. Je n’ai pas vocation à être gourmand car j’ai déjà la chance de faire ce que j’aime. J’ai vu avec mon comptable et je peux prendre un apprenti pour que je me développe. Il va être là pour faire des projets, pour apprendre. Apprendre aussi à être un bon commercial car c’est la clef du succès. J’y vais au culot sur absolument tout.
En janvier je suis parti 2 semaines au Canada. J’ai juste envoyé un message le soir sur mon canapé à un mec qui faisait de la pub pour des road trip de motoneige au Canada : « Salut c’est cool ce que vous faites ça vous dirait qu’on parle d’un projet ? Je suis photographe et vidéaste et je peux vous aider ».
J’ai des contacts qui sont en train d’arriver pour être sur un circuit de F1 avec Alpine cette année, peut-être aussi Redbull. C’est la consécration mais ça prend beaucoup de temps pour se lancer. Combien de fois j’ai bossé jusqu’à 2 ou 3 h du mat sur des projets photo ou vidéo pour arriver au résultat que je voulais.
J’ai une famille, j’ai des enfants et il faut mettre ce côté-là un peu de côté de temps en temps pour être égoïste mais de la bonne manière pour leur apporter quelque chose.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
Elle m’a donné des techniques très professionnelles, mais avec un discours et une méthodologie très simple.
En gros, si tu écoutes bien et que tu appliques à la lettre, cela peut aller très vite !
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Pourquoi réfléchis-tu ? Tu es à deux doigts de vivre ta meilleure vie.
Killian H.
Son travail : killian-herbert.com
Élève depuis début 2020. Alsace
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Avant la formation je faisais surtout de la photo de voyage avec le téléphone. Je n’aimais vraiment pas faire des montages mais j’ai toujours été passionné par la vidéo également.
J’étais en DUT “Multimédia et Internet” et j’habitais encore chez mes parents, je leur ai dit “est-ce que vous acceptez que je me lance pendant que je suis à la maison ? Je vous prouve en 1 an que c’est possible”
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Je suis pompier volontaire. Avec la caserne on allait toujours dans le même restaurant et c’est toujours le même coiffeur qui nous coiffait. On sortait du COVID je suis allé les voir et je leur ai proposé de faire des photos et une vidéo. Rien que ça, ça me permettait de faire un portfolio en termes de pub et en corporate. Eux, ils en parlaient en échange et ils mettaient mes cartes de visite.
Et ensuite j’ai demandé un partenariat avec Ride On Experience qui a été accepté et le fait de pouvoir bosser avec une marque comme ça, ça m’a dégagé énormément de contrats derrière. Même si c’était juste de fournir des photos en échange d’un Onewheel (sorte de skateboard motorisé).
Ça a marché plus vite que prévu. Au bout de 8 mois j’ai pu me dégager suffisamment de salaire pour partir de la maison et prendre mon appart avec ma copine. J’ai un ami qui a une boîte de com avec qui j’ai commencé à travailler. Comme ça marchait bien avec une agence de com’ j’en ai démarché 3 autres.
Aujourd’hui je travaille régulièrement avec 4 agences de com’. Dès qu’ils ont besoin de photo ou de vidéo je suis là et après j’ai mes propres clients que je suis sur la longueur.
Je ne pensais pas que j’arriverais là au bout de 3 ans : documentaire au cinéma, des photos pour le circuit de Spa et là je vois en janvier on a signé 2 séries documentaires sur un pilote amateur et une équipe d’e-sport. Là je vais partir au Maroc pour le Nomad Raid.
On est sur une année qui est au-delà de ce que j’imaginais.
J’ai suivi pendant 10 jours le tournage d’un moyen-métrage de science-fiction amateur. C’était un projet colossal, on était plus de 80 bénévoles. J’ai filmé aussi les préparations aux cascades, les préparations à l’épée, toute la préproduction, l’écriture du scénario, le tournage en lui-même et après la post-prod. En fait c’est un projet qui a pris 2 ans et plus qu’un making of, c’est surtout un documentaire sur les différents métiers du cinéma. Ils ont décroché un partenariat avec un cinéma du coin. On a fait une première projection et le directeur du cinéma a adoré et il a accepté que le documentaire soit projeté juste après le film.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
J’ai fait la formation de A à Z et j’ai plus appris en l’espace de 2 ou 3 semaines de formations intensives qu’en 2 ans d’IUT.
J’ai appliqué tout ce que disait JC, j’ai commencé à démarcher, à communiquer à droite à gauche, à diversifier mes offres, à réfléchir de manière stratégique.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Je la recommande souvent à toutes les personnes qui viennent me voir en privé sur les réseaux ou en privé pour me demander quelle formation j’ai faite et je leur dis clairement que c’est une des premières formations françaises à avoir abordé autant de domaines différents par un professionnel en qui j’avais confiance grâce à ses vidéos YouTube et ses réponses sur les réseaux sociaux.
Aujourd’hui la formation a évolué et propose des modules pour les débutants ainsi que les professionnels et permet d’apprendre chaque domaine de compétence à un seul et même endroit. De plus, JC fait appel à d’autres formateurs au cours de la formation pro lorsqu’il s’agit de la comptabilité ou de la photo portrait, etc.
J’ai aussi plus appris en quelques semaines de formation avec JC qu’en 2 ans de DUT, mais le fait d’avoir confiance en un formateur qui en plus de ça répond toujours ça m’aide à me conforter dans ce choix. Avant de conseiller la formation, je conseille d’abord d’aller voir la chaîne YouTube et ses différents projets pour voir si sa méthode d’apprentissage convient.
Soline L.
Son travail : soline.laplace
Élève depuis mars 2020. Paris.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
J’ai commencé surtout la photo en 2015 en partant en vacances. C’était juste pour prendre en photo mes premières vacances en potes, faire une vidéo souvenir. Et ça m’avait plu. L’année d’après j’avais l’impression que mon iPhone ne me suffisait plus trop. J’avais envie de passer le cap au-dessus. J’ai acheté mon premier reflex à l’époque.
J’ai commencé à bidouiller un petit peu. J’allais farfouiller sur Youtube pour comprendre la photo et les réglages. Je suis tombé sur le compte de JC sur Instagram pendant le confinement. J’ai tout de suite accroché. J’ai adoré ses photos, toute la polyvalence qu’il avait, les voyages qu’il faisait.
Et c’est pour ça que je me suis dit que la photo et la vidéo c’était super complémentaire ; on pouvait faire des choses tellement différentes mais alliées ensemble. J’ai acheté la formation tout de suite le jour de la sortie. Je voulais absolument voir ce qu’il faisait et ce qu’il pouvait m’apprendre de plus que ce que je voyais sur Youtube.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Fin 2017 je suis rentré chez les Pompiers de Paris, je partais sur les incendies, m’occuper des gens. Il faut savoir que les pompiers travaillent tout en autonomie et quand tu vois des photos des pompiers ce sont des pompiers à la base qui sont devenus photographes chez les pompiers de Paris et qui font les photos sur les interventions pour un peu immortaliser les grands moments, pour alimenter les réseaux sociaux et pour pouvoir donner des images aux médias qui ne peuvent pas se déplacer sur place et qui font des articles dans Le Parisien ou sur BFM.
À ce moment mes photos étaient légitimes car j’avais passé un cap et forcément les gens apprécient car ça change de ce que quelqu’un peut faire classiquement. Du coup j’ai proposé mes services à la cheffe qui gère tout ce bureau communication. Elle a adoré mes images et depuis 2 ans j’ai été muté dans le service qui s’occupe de faire les photos et les vidéos pour l’institution. Pendant 48 heures je suis à ma caserne.
On a un gros camion avec tout le matos photo et dès qu’il y a une grosse intervention on part en mission pour documenter le travail de nos camarades. On se met en tenue de feu et on peut aller au plus près de l’action. On fait des images que personne d’autre ne peut avoir que nous. C’est pour ça que les médias après envoient des mails à notre commandement pour illustrer les articles aussi bien à la télé que dans la presse.
Aujourd’hui je suis aussi bien photographe que vidéaste car je sais faire les 2. C’était aussi un peu la plus-value pour venir. Ils voulaient avoir des personnels polyvalents. Même si la photo reste dans mon cœur, je trouve les 2 très complémentaires je n’ai aucun souci à faire de la vidéo pour mon travail et pour mon perso j’adore ça aussi. L’expérience fait qu’après tu es un peu plus légitime pour aller voir des gens, proposer tes services, envoyer des mails. Du coup j’ai réussi à aller faire des photos en bord de terrain au Parc des Princes avec le PSG. J’ai pu faire des photos pour le concert de Jeremy Frérot.
Tout ce que je fais en dehors des pompiers je le fais gratuitement car j’ai pas le droit d’avoir une activité secondaire avec mon statut militaire. Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait par passion et par kif pour avoir des images. Et dans tous les cas ça ne fait que de l’expérience engrangée, ça me permet d’avoir un portfolio et si un jour il m’arrive n’importe quoi et que je dois quitter les pompiers j’aurais des images à côté qui montrent ce que je peux faire d’autre et pouvoir rebondir ailleurs dans d’autres spécialités en photo.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
Ça m’a appris taquet de trucs. Ça m’a permis de vraiment passer au-delà de ça, d’aller plus loin, de vraiment jouer avec les réglages pour sortir des photos différentes de ce que je faisais d’habitude.
Je me suis inspiré de tout ce que JC a pu faire, de l’expérience qu’il te donne forcément tu l’absorbes et tu mets en pratique tout ce que tu vois.
Vincent F.
Son travail : vincent_fleury_photographie
Élève depuis octobre 2021. Normandie.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Moi c’est Vincent, j’ai 38 ans. Je suis marié, j’ai 2 filles. J’ai commencé la formation en Octobre 2021.
À l’époque j’étais formateur en soudage et je m’occupais de la communication d’un club de foot dans ma région. J’aimais bien leur faire des petites vidéos, des photos mais y’avait rien de quali.
Je cherchais une formation pour m’améliorer au départ en vidéo et je suis tombé sur l’offre de JC justement.
Au tout début je continuais à travailler à côté, le soir quand je rentrais je me formais. Et après ça c’est très très vite enchaîné.
À partir du moment où tu postes des choses ou tu te donnes de la visibilité et que ton travail est bien fait les gens viennent vers toi en fait.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Pendant 1 an et demi j’ai eu une vie bien chargée entre mon boulot de formateur et là mon boulot de photographe vidéaste donc je n’ai pas arrêté et c’est cool. J’adore. J’ai été contacté par une ancienne amie à moi qui est traileuse et a couru de Honfleur jusqu’au Mont Saint Michel ce qui fait 600 km. Elle m’a demandé de lui faire un petit reportage en 7 jours. Donc je suis parti pendant 7 jours avec ma petite caméra, mon petit drone et je l’ai suivi.
Au final je ne pensais pas mais le documentaire, il est sorti au cinéma par chez moi. Je n’y croyais pas mais il y a eu 3 séances. Truc de fou.
On est dans une petite région en Normandie donc ça a pas mal parlé et du coup un boxeur m’a demandé de lui faire un petit documentaire pour lui.
Je l’ai suivi jusqu’à son combat au zénith de Caen où j’ai eu aussi la chance de prendre Orelsan en photo. Y’a eu des petits reportages à faire en photo, des petits reportages en vidéo et j’ai gardé mon métier donc j’avais les 2 métiers et je n’avais pas forcément le temps.
Là je prends mes congés et le 28 de ce mois-ci fin de contrat, j’ai démissionné de mon métier de formateur pour vivre de ma passion de la photo et de la vidéo.
Je travaille surtout avec des professionnels. Je travaille avec un opticien, j’ai une métallerie par chez moi il fait projet de rénovation donc ils aiment bien avoir du contenu. J’ai un bar aussi qui m’appelle assez souvent, il crée des évènements photo vidéo pareils puis des petits contrats à droite à gauche donc non ça prend bien je commence à me faire un petit carnet d’adresses. Moi j’habite dans la Manche, la ville de Cherbourg m’a contacté samedi j’ai travaillé pour eux pour des concerts, pour des tremplins, un festival c’est ce genre de chose donc non c’est top, c’est top.
Aujourd’hui je suis très content. C’est un choix qui fait peur mais je suis sûr que je vais y arriver et je suis déterminé et je vais y arriver.
Tout mon entourage me dit que c’était le bon moment. Je me sens soutenu dans ce que je vais faire et c’est top.
La suite : festival de musique pendant 4 jours cet été, un peu de mariages, j’ai pas le calendrier sous les yeux mais j’ai plein de choses à venir c’est plutôt cool. Mon agenda est rempli.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
La formation en fait, elle apprend à avoir confiance en soi et c’est top.
Elle m’a beaucoup apporté en termes techniques, en pratique aussi. J’ai commencé la formation je ne savais pas ce que c’était des ISO ou ce genre de choses donc vraiment je prenais des photos en mode auto et aujourd’hui ça m’a apporté pleins de choses, les connaissances techniques, la pratique et aussi sur soi-même en fait il y a un état d’esprit à avoir et JC sait retransmettre tout ça.
Il a des super conseils et ses vidéos elles sont qualis et puis même la façon dont il amène la chose il va te le répéter 50 fois dans un module mais ça passe en fait c’est pas barbant tu regardes ça c’est nickel tu veux t’arrêter tu t’arrêtes tu reprends ça 2 semaines tu n’es pas pressé par le temps et tu fais à ton rythme et ça j’ai trouvé ça au top.
Comme je dis assez souvent je ne remercierai jamais assez la formation puis JC Pieri pour tous ses bons conseils. C’est toutes ses bonnes choses qu’il a pu m’apporter. Clairement il a changé ma vie c’est un truc de fou.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Vas y fonce. Tout simplement.
Je me pose même pas de question en fait, c’est quali, c’est tout ce que tu veux ça t’apprend, tu es novice t’apprend plein de choses et même quand t’es professionnel je vais reprendre la formation je ne me considère pas encore professionnel mais la formation va encore m’apprendre plein de choses j’en suis sur et ça c’est top.
Kilian C.
Son travail : playfilmprod.com
Élève depuis début 2021. Bourg-en-Bresse.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Je pratiquais le BMX à fond et je faisais des vidéos Youtube de BMX.
J’ai commencé à me rendre compte que la vidéo, c’était un vrai kiffe. Je voulais vraiment me lancer à titre professionnel. Je travaillais comme vendeur dans des magasins de vélo. Ça me saoulait car j’aimais le vélo en tant que sport mais pas en tant que travail.
JC je le connaissais d’avant via le BMX, je savais que c’était une valeur sûre.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Je me suis lancé en freelance en vidéo en 2021. J’étais livreur Uber Eats en parallèle pour assurer un revenu. C’est vraiment le bouche à oreille et le réseau qui ont fait que j’ai commencé à tourner.
J’avais un pote qui m’a fait rentrer dans une grosse agence de communication au départ comme assistant cadreur en prestation. Quand je suis arrivé là-bas j’avais les bonnes bases pour bien commencer. Je savais comment utiliser ma caméra, faire les bons réglages, cadrer correctement. Ça c’est super bien passé. Je me suis donné à fond pour que ça matche avec l’agence. Derrière ils m’ont repris sur plusieurs prestations avec des marques de cosmétique ou des clients dans le BTP.
Je vis à 100% de mes vidéos pour des clients depuis l’été 2022. J’ai des clients récurrents comme Idriss Aberkane ou un artiste qui a fait l’émission Incroyable Talent. Là j’ai besoin de me développer pour avoir du monde avec moi. Je suis un peu dans la phase où je bosse pour 3. Je commence à avoir de très gros projets, par exemple pour une marque de camion.
J’espère en milieu ou fin d’année pouvoir m’entourer d’une petite équipe. Au moins avoir un monteur car là j’ai des projets de montage dans tous les sens. Je fais à 100% ce que j’aime. Je gère mes journées comme je veux. Si j’ai besoin de 2 jours parce que je suis sur une compèt de BMX y’a pas de problème.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
J’avais besoin d’avoir le plus d’éléments possibles dans la vidéo pour me lancer dedans. C’était de base une passion mais j’avais pas de formation dans l’audiovisuel.
La formation c’était vraiment ce qu’il me fallait je pense car quand tu te renseignes de ton côté sur Youtube et Google c’est un peu dans tous les sens là c’est vraiment structuré.
Tu as vraiment tout, tu passes de l’aspect juridique à l’aspect technique en vidéo à l’aspect développement personnel. Depuis que j’ai suivi la formation mes vidéos n’ont plus rien à voir, je travaille plus de choses. Le rendu est beaucoup plus pro.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Je dirais que cette formation va lui apporter la confiance et toutes les informations nécessaires pour se lancer en tant que vidéaste.
Pour moi, c’est un investissement à prévoir en plus du matériel, d’autant plus que je trouve que la formation est très complète et que le rapport qualité prix est au rendez-vous.
Clément F.
Son travail : clementfaucher.com
Élève depuis début 2020. Toulouse.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Moi j’ai un parcours hyper atypique je pense comme pas mal des gens qui ont rejoint la formation. J’ai été boulanger pendant 6 ans puis j’ai fait une maladie professionnelle. J’ai tout quitté pour faire un petit tour en Asie. Je suis parti juste avec mon Iphone et mon drone. C’était vraiment du pur freestyle mais c’était à ce moment que j’ai commencé à me dire mais en fait j’aime trop faire ça et y’a trop un truc à faire.
Je suis rentré en France à cause du COVID et je me suis dit : la photo et la vidéo c’est vraiment ce qui me fait vibrer. J’avais mes points CPF dus à mes 6 ans de boulot en boulangerie et je me suis dit vas y let’s go faut se lancer faut tenter quelque chose.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Ça fait 2 ans aujourd’hui et déjà je peux être ultra heureux de me dire que je vis de ça à temps plein et là encore il y a 10 minutes on était en train de m’appeler pour un projet. Franchement ça c’est déjà la plus grande réussite. Savoir qu’aujourd’hui j’arrive à me lever le matin et avoir du travail et à me projeter chaque jour sur le futur parce que je sens que c’est un métier où la demande est de plus en plus grande.
Aujourd’hui je suis basé sur Toulouse et le cœur de mon métier c’est la couverture vidéo dans l’évènementiel. Je travaille aussi avec 2 agences de voyages : une au Maroc et une dans le sud de la France.
Et y’a pas longtemps j’ai eu un énorme projet avec Nike Trail c’était un peu le trophée de tout ce temps que j’ai buché la formation, toutes ces galères qu’on peut avoir un peu au début. J’essaie de m’orienter de plus en plus vers le sport car c’est ce qui me passionne. Donc là le contrat avec Nike Trail c’était vraiment le Graal donc j’étais super content.
C’est assez fou mais en fait j’ai l’impression que tout ce que je réalise aujourd’hui c’est un concours de circonstances, des rencontres tout ça.
I-run (un revendeur de chaussure) organisait une collaboration avec Nike Trail à Chamonix. Une des agences avec qui je travaille organisait toute la partie logistique (le traiteur, le chalet tout ça).
Nike avait l’habitude de travailler avec un gars mais au dernier moment il n’était plus disponible. Ils ont demandé à l’agence : est-ce que tu aurais quelqu’un à nous conseiller pour la vidéo ? Et du coup ils ont dit let’s go on prend Clément il est habitué à courir dans les montagnes pour nous filmer tout ça ça devrait le faire. Et du coup pendant 1 semaine je suis parti à Chamonix avec 2 photographes italiens. Quand on est arrivé à Chamonix toutes les campagnes Salomon tout ça c’était eux qui avaient tout fait et moi j’avais à peine 1 an d’expérience et c’est vrai que là j’avais un peu le syndrome de l’imposteur en me disant qu’est ce que je fous là.
Mais au final ils ont grave kiffé ce que j’ai fait, le réel que j’ai balancé il a fait à peu près 100’000 vues je leur ai fait aussi une vidéo globale de l’évènement ils ont grave kiffé du coup c’était top.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
La formation, elle m’a vraiment aidé pour toute la partie technique où j’étais un néophyte total donc pour te dire c’était à la limite si je ne savais pas qu’il fallait ajouter un objectif sur une caméra.
Ce n’est pas juste JC Pieri qui explique derrière son ordinateur ou sa caméra “voilà vous devez utiliser ça ça ça” mais il nous emmène en inside dans ses presta.
On était dans le cœur de ses tournages et on voyait vraiment en direct comment il réagissait. Il avait une problématique il amenait une solution directe du coup on pouvait vraiment se projeter. Derrière j’avais regardé sa vidéo où il filmait un festival car c’est un peu ce que je fais aujourd’hui dans l’évènementiel et ça m’avait grave aidé je me disais voilà il se place comme ça, il utilise tel objectif à ce moment après il essaie de varier avec des plans un peu plus serrés il va vers la foule capter de l’émotion du coup j’arrivais vraiment à me projeter et voir comment moi je devais tourner un peu ça.
Ce qui m’a plu aussi avec la formation c’est l’aspect communautaire qu’il y a en post-formation que ce soit via les réseaux la page Facebook JC Pieri Formation ou ben du coup on rentre vraiment dans un réseau d’entraide où on partage tous la même passion et les mêmes galères au début et ça, je pense que c’est énorme car moi j’en ai rencontré 3 sur Toulouse qui ont fait la formation et ça peut arriver que sur des projets on s’entraide ou si on a besoin de photos un peu behind the scene on s’appelle des fois on va se faire des sorties.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Vraiment de pas hésiter car c’est vraiment quelque chose qui peut changer une vie à condition bien sûr d’être passionné d’avoir très envie de réussir.
Y’a des moments de difficulté mais il ne faut vraiment pas lâcher et cette formation c’est vraiment une clef vers une porte qui peut s’ouvrir pour beaucoup de monde. Il faut vraiment y croire et c’est une formation que je recommande énormément.
Sandrine B.
Son travail : studiopaddock
Élève depuis début 2020. Région parisienne.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Moi je m’appelle Sandrine j’ai 25 ans. J’étais salariée dans l’automobile et en parallèle j’étais freelance pour des cavaliers de haut niveau sur tout ce qui est communication. Je vendais plus des prestations sur la communication, gestion des réseaux sociaux, conseil en image, pas du tout de création de contenu.
Je faisais un peu de vidéo, un peu de photo. Dans le milieu du cheval c’était assez pour se distinguer car c’était bien et dans ce milieu y’avait pas de choses très bien qui sortaient mais ce n’était pas au niveau de ce que je voulais. Et en fait à un moment déléguer la création de contenu on a jamais trop ce qu’on veut donc je me suis dit autant faire tout, gérer leur contenu qu’on fait pour leurs partenaires comme ça, on a une offre vraiment globale pour eux et les partenaires qui les accompagnent.
Pendant le premier confinement je me suis retrouvé au chômage partiel. Je me suis dit c’est le moment d’utiliser ce temps libre pour faire autre chose et notamment cette formation.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Moi j’étais salarié dans l’automobile et j’étais très bien où j’étais. Mais en post-COVID, y’avait plus trop d’activité sur cette entreprise du coup on a arrêté d’un commun accord avec mon ancien responsable.
Au début je me suis dit bon je retrouve un poste salarié je garde cette micro-entreprise à côté et puis on voit ce que ça donne et en fait j’ai pris un projet qui a amené un autre projet qui a amené un autre projet … et au final aujourd’hui je n’ai plus comme objectif de redevenir salariée à tout prix.
Je suis 100% en Freelance depuis janvier 2022.
J’ai eu un très très gros projet qui est tombé l’année dernière. Je pense qu’il y a plus de 25 vidéos au total à tourner et monter sur toute l’Europe donc c’est assez chouette. On fait des portraits vidéos sur les plus belles lignées génétiques de jument au monde.
L’entreprise elle vient d’être créée ça s’appelle Genesis Horsebreeding. Ce sont des gens qui vendent des embryons implantés.
Ça m’a occupé tout 2022 déjà et là je pense que oui ça va m’occuper tout 2023.
Donc je suis sur ce projet-là et après j’ai toujours mes clients en parallèle pour qui je fais un peu de contenu.
Ce que je fais aujourd’hui c’est un job qui me plaît donc je n’ai pas d’intérêt à aller spécialement retourner dans le salariat pour être dans le salariat alors qu’aujourd’hui je fais des films des plus beaux cavaliers, des plus belles juments voilà c’est ce qui me plaît c’est la vie que je veux.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
Déjà je pense que ça m’a permis de me sentir un peu plus légitime à proposer ce genre de prestations. Je trouve qu’en fait tout ce qui est technique sur les réglages etc on peut les trouver un peu partout en fouillant sur Internet.
Après ce que JC apporte c’est aller chercher la chose qui est un peu différente, aller chercher peut-être le point de vue que les autres n’auraient pas été cherché je trouve ça hyper intéressant.
Et après sur toute la partie montage la formation ça m’a permis d’être vachement plus rapide à monter mes vidéos.
Je pense que j’ai gagné bien sur des montages de 3-4 minutes j’ai peut-être gagné une heure de montage donc c’est quand même assez… après j’étais très lente je commençais avec les logiciels mais le fait d’avoir tout bien détaillé sur comment organiser ses dossiers etc. ça m’a permis vraiment de progresser là-dessus.
Et puis d’envisager de vivre de ça parce qu’en fait moi ce n’était pas trop mon plan de vie on va dire d’être que freelance mais aujourd’hui je me dis que c’est vraiment possible donc c’est assez chouette et je pense que si je n’avais pas fait la formation je n’aurais peut-être pas passé ces caps là et je ne me serais peut-être pas dis que je pourrais vivre de ça et faire que ça.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Ça permet d’avoir toutes les informations et toutes les connaissances sur la photo et la vidéo mais réuni à un seul endroit et je pense que ça apporte beaucoup mais que ce soit dans tout ce qui est technique réalisation etc. et aussi beaucoup la confiance, comment s’organiser tu vois toute la partie développement personnel, création d’entreprise etc.
Je trouve que c’est hyper intéressant d’avoir tout au même endroit, c’est vraiment quelque chose d’assez global je pense que c’est le gros plus de cette formation.
Nicolas E.
Son travail : canefora.fr
Élève depuis fin 2019. Annecy.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Je venais de rompre mon contrat, j’étais chef de projet dans l’industrie et en fait du coup je ne savais pas exactement ce que je voulais faire.
Ça faisait des années que je faisais de la photo. J’avais déjà mon matos photo, je m’amusais bien. J’avais déjà fait des photos pour des skieurs pro etc. donc je connaissais un petit peu le milieu et puis grâce à ma compagne elle m’a dit mais si lance toi.
Et puis la formation de JC Pieri est arrivée. Du coup j’ai dû faire partie vraiment des premiers à m’inscrire sur la formation JC Pieri.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Je me suis formé, et suite au COVID j’avais lancé ma petite boîte mais qui ne fonctionnait pas. J’ai réussi à trouver un stage dans une entreprise d’outdoor qui s’appelle Snowleader sur Annecy pour faire photo/vidéo. C’était un stage de 3 mois et ils m’ont proposé un CDD d’un an derrière.
Ça a été un petit peu un tremplin pour me lancer et suite à ça je me suis associé dans une agence de communication sur Annecy en tant que co-gérant et maintenant je vis pleinement de la photo et de la vidéo. On est 5. Et voilà ça se passe très bien.
Ça fait en gros depuis mi-2020 que je vis de la photo et de la vidéo. Je n’ai même pas utilisé mon chômage car rapidement j’ai eu mes clients, j’ai eu mon stage, mon CDD.
Je fais beaucoup de corporate, en soit sur mes clients je fais beaucoup de photos d’intérieur etc. Je travaille pour un loueur de vélo qui vient d’arriver sur Annecy, je travaille pour de l’industrie, du coup sur Annecy on a beaucoup de sportifs, je travaille beaucoup pour l’outdoor. Et je suis en train de tranquillement développer ma petite chaîne Youtube qui va sortir d’ici peu de temps.
La suite ça va être de continuer à développer la partie photo et vidéo j’aimerais bien embaucher quelqu’un d’ici 2023 2024. Avoir une personne en plus en photo et vidéo car pour l’instant on a que des personnes qui créent des sites internets et qui font du marketing et de la com. Donc moi j’aimerais bien avoir quelqu’un avoir moi en photo et du coup commencer à bosser avec de plus gros clients de plus grosses équipes voilà.
Et puis potentiellement développer ma compagne elle a ouvert un blog de voyage du coup de pouvoir essayer de partir un petit peu sur ce concept-là pouvoir créer du contenu tout ça.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
Au niveau de la photo je connaissais pas mal de choses ça m’a permis de revoir des bases solides.
Je pense qu’en photo j’avais des bonnes bases, en vidéo je n’en avais pas je ne connaissais pas grand-chose j’avais déjà essayé de filmer avec des gopro mais c’était un peu basique et grâce à la formation je pense que j’ai réussi à comprendre les choses qui me manquaient et ça m’a permis au moins de pouvoir être plus à même de proposer ces prestations pour mes clients.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Y aller. Tout simplement faut y aller car elle hyper complète en plus elle se met à jour hyper souvent et encore une fois c’est un investissement qui est utile si tu veux faire de la photo et de la vidéo.
La plupart des gens sont capables d’acheter des livres ou quoi que ce soit mais une formation en fin de compte c’est un investissement personnel pour soi donc je ne vois pas pourquoi on irait si on a vraiment envie de faire ce métier, de se lancer dans cette aventure-là il faut y aller y’a pas à réfléchir.
Et en plus c’est un très bon formateur.
Enzo B.
Son travail : enzobesson
Élève depuis début 2022. Lyon.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Moi je m’appelle Enzo, j’ai 22 ans. J’ai un parcours un peu atypique parce que j’ai fait du rugby à haut niveau. J’étais au centre de formation à Oyonnax.
Ca c’était y’a deux ans, en fait je sors du centre de formation en 2021 et j’en ai marre du sport j’en ai marre du haut niveau je suis un peu écœuré par tout ça y’a un peu trop de pression.
Et quelques mois auparavant j’avais fait l’ascension du Kilimanjaro j’avais pris une Gopro avec moi et j’avais bien kiffé le fait de prendre une image, d’avoir un souvenir en rentrant et de là je commence un peu à toucher à tout ça la photo la vidéo.
Jusqu’au jour où j’ai un premier projet dans un truc assez pourri un bâtiment un gars qui me dit j’ai besoin de photos j’y vais et voilà c’est comme ça que j’ai mon premier projet. À la suite de ça, peut-être 6 mois après je découvre la formation de JC et là vraiment coup de cœur car je me dis que je peux faire de ça mon métier.
En fait je retrouve un peu chez JC ce que je suis en train de vivre parce que lui aussi il était sportif de haut niveau etc. donc voilà je me retrouve bien là-dedans et puis y’a cette passion qui est naissante et qui grandit de plus en plus.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Déjà j’en vis totalement donc c’est déjà une bonne chose.
Je vis de ça, je travaille dans le sport de plus en plus ; et je peux me permettre de voyager d’être ici en Inde en ce moment.
Je suis parti 6 mois en voyage l’année dernière. J’étais en train de suivre la formation, j’avais presque fini et à côté de ça je voyageais. J’ai fait l’Australie, la Nouvelle-Zélande…
Donc en fait je pouvais très vite mettre en place ce que j’apprenais. Et du coup cette année à la rentrée en septembre je suis rentré et je me suis dit : maintenant je veux faire ça à fond. Et je me suis lancé dedans et j’ai eu un premier projet après je te parle vraiment des gros projets après y’a eu pas mal de petits projets à côté.
J’ai commencé à travailler pour des boîtes de prod à partir d’octobre de l’année dernière, une boîte de prod à Lyon et puis j’ai eu mon premier projet pour Salomon en novembre, donc à partir de septembre j’ai directement été autonome, après ça a fait juste continuer depuis septembre dernier.
Je suis vraiment au début on parle de quelque chose qui est hyper récent donc la suite c’est continuer surtout dans le chemin où je suis et pouvoir prendre que des projets sportifs et réaliser des projets de plus en plus gros.
Quand je dis de plus en plus gros ce sont des aventures, des choses dans le sport qui se font rarement et finalement y’a très peu de place pour les vidéos et les photos car c’est déjà des projets rares et c’est vraiment ce vers quoi je veux tendre. Si tu connais le film Zabardast sur Youtube, c’est une aventure de gars qui partent faire du ski au Pakistan pendant 1 mois.
Moi ce qui me fait kiffer c’est vraiment de pouvoir réaliser des aventures comme ça. Allier le sport, les images, les aventures, la rencontre humaine… Vraiment tout ce que j’aime.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
Moi j’ai aucune connaissance du milieu. Je n’ai pas fait des études ou quelque chose là-dedans donc ça a été vraiment maîtriser les bases pour pouvoir après approfondir.
Aujourd’hui j’ai des projets où si je n’ai pas les bases c’est impossible parce qu’on est dans une situation ou des fois je cours avec les personnes etc. donc c’est obligatoire d’avoir les bases en fait. Quand je dis les bases c’est un peu grossier mais c’est tout ce qui permet un bon résultat, déjà dans de bonnes conditions et après dans des conditions particulières en voyage dans le sport…
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Je lui dirai de foncer, s’il s’est posé les bonnes questions s’il se sent perdu dans sa vie et qu’il sent qu’il a une appétence pour les photos les vidéos ; ben honnêtement d’y aller et je pense que vraiment sur ce qui se fait en France c’est ce qui se fait de mieux en termes de contenu, de comment c’est fait, de compréhension de pleins de choses.
Je peux que recommander d’y aller et en fait ça va faire qu’accroître sa passion et le fait de croire en ça. Aussi ce que j’ai adoré dans la formation c’est l’objectivité, ça ne vend pas du rêve.
Et je crois que la base de tout ça c’est vraiment être passionné parce que y’a beau avoir maintenant des formations des choses comme ça y’a vraiment une passion au fond qui fait aller toujours plus loin. Moi j’ai jamais compté les heures que je fais pour ça et je ne prends même pas ça pour un métier.
Christopher B.
Son travail : mister.bigmac
Élève depuis début 2022. Oise.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Moi c’est Christopher Broyard, j’ai 27 ans.
La photo ça fait peut-être une dizaine d’années que j’en fais.
Je cherchais du travail, je faisais des petits boulots par-ci par-là et à un moment donné j’en ai eu marre et je me suis que tout ce que voulais faire dans la vie c’était ce que j’aime.
Donc je me suis dit je prends mon courage je me lance et je vois ce que ça donne je me lance à fonds et en fait dès la première année ça a bien marché ben du coup j’ai continué.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
La première année où je me suis lancé c’était l’année dernière, j’étais étonné que ça fonctionne aussi vite. Je ne sais pas ce qui s’est passé mais j’ai eu plein de projets d’un coup.
Un des plus beaux projets que j’ai fait l’année dernière c’était filmer pour un politique à l’Assemblée Nationale pour une première année c’est plutôt pas mal je trouve.
Après j’ai été filmé une vidéo promo pour un DJ à Evian les Bains, j’ai été filmé une formation pour une formation sur le CBD à côté de Lyon, j’ai fait des mariages, du portrait des projets vidéos tout un tas de choses.
Je fais même depuis peu avec un ami avec qui je travaille sur des projets il a ouvert un studio photo et du coup je fais du studio photo également.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
Ça m’a surtout apporté sur le côté business savoir comment démarcher des clients, trouver des clients etc. Comment gérer un peu tout ce qui est le côté professionnel de la chose.
Aussi sur la partie développement personnel aussi sur les expériences que JC a pu avoir avec des clients on peut peut-être s’y retrouver et plus faire les mêmes erreurs des choses comme ça. Et puis pour la partie vidéo ça m’a apporté toutes les connaissances qu’il faut pour pouvoir faire une bonne vidéo et satisfaire le client.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Déjà c’est un peu ce que je fais, dès que je peux je la recommande.
Si on veut se lancer, si on veut apprendre et avoir toutes les connaissances qu’il faut pour se lancer je pense que cette formation-là c’est la meilleure.
Pourquoi ? Parce que je la trouve très très complète, très bien expliquée.
Tout est assez facile, facile à regarder aussi parce que ça peut être difficile de regarder une vidéo et pas se lasser alors que là on regarde et on apprécie de regarder, d’écouter, d’apprendre donc voilà formation très complète.
Laura D.
Son travail : lauradc.book
Élève depuis fin 2022. Région parisienne.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Je m’appelle Laura et j’ai 28 ans, j’ai grandi à Madagascar et c’est grâce à ça que j’ai connu JC surtout. Je suis tombée sur ses photos là-bas et j’ai commencé à le suivre sur Instagram pour cette raison, et je m’y suis intéressée petit à petit.
Puis quand j’ai voulu me lancer dans la photographie, j’ai évidemment directement pensé à lui, puis j’ai dû voir passer sur son Instagram qu’il proposait des formations finançables grâce au CPF et j’ai sauté sur l’occasion.
Au départ, je faisais complètement autre chose. J’ai fait un master en communication puis le COVID est arrivé à la fin de mes études. Donc pendant 3 ans j’ai fait un métier que je n’aimais pas tellement histoire d’avoir une rentrée d’argent vu la situation, j’ai laissé tomber la communication et j’occupais un poste de quality analyst dans une start-up.
Je suis restée trois ans car j’appréciais beaucoup mes collègues, mais aussi par peur de ne rien trouver d’autre et de ne plus être légitime dans le monde de la communication que j’ai abandonné pendant trois ans.
J’ai réfléchi à ce que je pouvais faire, j’en ai parlé autour de moi, il me fallait à tout prix un métier créatif.. Puis ça a fait tilt.
Je combine maintenant deux passions : la photo, que je pratiquais uniquement en vacances ou lors de concours hippiques, et la nourriture. J’ai toujours aimé un peu la photo mais je me rends compte que je faisais ça comme ça, sans vraiment chercher à comprendre comment m’améliorer.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Je crois que c’était fin 2022 que j’ai pris la formation mais je travaillais encore à ce moment donc je faisais les deux. Je faisais ça le soir et le week-end et quand j’ai vu que ça pouvait marcher j’ai enfin quitté mon boulot.
Maintenant je suis photographe, je travaille à mon compte avec un statut auto-entrepreneur. Je suis aussi social média manager / responsable communication de 5 restaurants à Paris.
Au début j’étais assez timide et stressée, puis je me suis lancée, j’ai 28 ans et je me suis dit que c’était le bon moment ! Je suis allée voir le boss de mon copain qui travaille dans un restaurant (c’est toujours un de mes clients) puis je lui ai fait une proposition, qu’il a accepté. J’ai pris confiance en moi, j’ai donc démarché un autre restaurant etc..
La suite, ça serait de continuer dans le culinaire, j’aimerais bien faire également de la photo pack shot ou encore lors de mariages.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
J’ai pu apprendre les bases, découvrir le matériel, je n’y connaissais rien donc je partais de loin. La formation m’a donné vraiment goût à la photo quand j’ai découvert tout ce qu’il est possible de faire, notamment dans le logiciel Lightroom que je n’avais jamais utilisé et dont je rêve à présent la nuit tellement ça fait partie de ma vie. Parce que je connaissais bien Photoshop et tous les autres de la suite Adobe mais les autres pas du tout et par conséquent, la formation m’a vraiment aidé sur ce point.
Malheureusement, il n’y avait rien concernant le culinaire, à ce niveau-là j’ai dû m’y intéresser seule et regarder de nombreuses vidéos Youtube dédiées.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
D’avoir du temps parce que quand on n’est pas assidu on perd vite le fil, il y a beaucoup de vidéos, JC répète heureusement beaucoup de fois les choses pour que ça reste ancré bien dans la tête mais je pense qu’il faut faire la formation d’une traite (même si c’est que le soir ou le week-end comme moi) mais de ne pas trop l’étaler dans le temps.
Mais il faut aussi et surtout aimer et s’intéresser à la photo, de la motivation et du temps, et pour finir aimer voyager. Avoir le goût de l’aventure, être curieux et courageux.
Camille & Guillaume
Leur travail : allaround_together
Élèves depuis fin 2021. Sur la route.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
[Guillaume a témoigné seul de leur expérience] J’ai un parcours assez atypique. J’étais à la base boulanger et j’ai fait une allergie à la farine donc j’ai dû me reconvertir. J’ai fait une licence pro dans la domotique. Ça ne m’a pas plus du tout du coup j’ai recherché une autre reconversion. Ça fait une dizaine d’années que je faisais de la photo à l’amateur à l’arrache etc.
Camille, elle était sur la fin de ses études dans une école de commerce.
Du coup on a décidé de créer notre structure pour passer pro et faire ce qu’on fait par plaisir, le faire de manière professionnelle, cadrée et selon un cahier des charges qui n’est pas le nôtre.
On a rejoint la formation en octobre ou novembre 2021. Ça a été le point de départ de toute la partie professionnelle.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
La toute dernière en date, c’est une marque de suspension pour camion du côté de Valence.
La vidéo je l’ai montée en une demi-journée même pas et j’en suis archi fier elle est trop cool. Le cahier des charges me correspondait aussi j’aurais déjà de base fait un peu la même donc ça a été très vite, j’étais très inspiré.
Ensuite on a travaillé dans le domaine du tourisme avec la région de Montbard en Bourgogne, la station des Rousses dans le Jura…
Comme projet assez particulier on en a fait un sur l’Eurovélo 3, c’est une piste cyclable qui va quasiment du cap Nord de la Norvège jusqu’au Portugal.
On a fait de la Belgique jusqu’aux portes de Paris. Donc on a travaillé avec pleins d’office de tourisme différent, des régions entières donc c’était un bordel à gérer mais c’était ultra formateur.
Depuis 3-4 mois on s’est ouvert aux marques. On travaille avec Carhartt Europe. C’est un contrat long terme. À chaque fois qu’ils font des nouvelles collections on travaille avec eux donc ça, c’est contrat dont on est ultra fier mais au final ce n’est pas rémunéré ils nous filent des fringues et on les porte et on fait un max de photos pour eux. Ça nous rend grave crédible sur le CV. Les marques ont beaucoup plus de budget et là cette saison va être beaucoup plus remplie.
On vit dans un van qu’on a aménagé. Là cet hiver on est parti en Andalousie, Portugal et nord de l’Espagne. Donc en fait on enchaîne les contrats et on vit sur la route entre les 2.
C’était vachement sympa, on est un peu plus indépendant et du coup on passe notre temps à être focus sur l’essentiel pour se développer niveau entreprise.
Donc ça va beaucoup plus vite, ça marche beaucoup mieux et on est beaucoup plus inspiré aussi puisque la vraiment je te parle je suis vraiment face à la nature et pour faire des photos, c’est autrement plus sympa qu’entre des vieilles tours d’immeuble. En réalité, on est dans un climat qui favorise le travail.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
Déjà à avoir confiance en moi, me sentir un peu pro car moi c’était le truc qui me manquait.
Depuis toujours on me dit tes photos elles sont magnifiques et pourtant je ne me sentais pas légitime du tout.
Je me suis dit le côté formation ça va me faire faire les choses dans l’ordre et c’est à partir de là où je me suis vu différemment et où les gens m’ont vu différemment car ça me rend crédible quand on va démarcher.
On a bifurqué sur la vidéo mais du coup vu que j’ai pris le package total j’étais totalement à l’aise sur tous les sujets. Le fait de pratiquer en parallèle j’ai trouvé ça ultra intéressant parce que surtout au fur et à mesure parce que y’avait pas trop d’info d’un coup qui s’accumulaient et j’en oubliais la moitié et je pratiquais que sur ce que j’ai retenu. Ça j’ai trouvé ça vraiment génial. Du coup 2 mois après 3 mois après le début de la formation j’ai fait le premier contrat avec la station des Rousses dans le Jura.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
C’est déjà fait y’a 2 potes à moi qui font la formation !
C’est ultra complet et c’est surtout accessible de fou parce qu’on ne se perd pas dans les explications trop pointues dès le début. Ça y va étape par étape.
J’ai une pote qui a fait la formation y’a un an maintenant et elle pour le coup elle avait un appareil photo qu’elle venait d’acheter mais pour autant elle ne savait pas s’en servir du tout elle shootait en auto et du coup toutes les bases ont été ultra importantes pour elles donc c’est adapté à tout le monde du coup.
Pourquoi JC Pieri et pas une autre formation ? Car j’adore son taf, j’adore le personnage et j’adore l’univers duquel il vient donc vraiment tout me ramenait vers ça quoi.
Orie H.
Son travail : ohydeprod
Élève depuis mi-2020. La Rochelle / Barcelone.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Moi c’est Orie, j’ai 25 ans aujourd’hui. J’ai commencé par une fac en STAPS pendant 1 an, puis j’ai fait un BTS Tourisme. Là je me suis demandé ce que j’allais faire de ma vie.
Bref, ce jour-là j’étais sur Instagram et j’ai vu la story de chez JC qui disait qu’il avait mis en place sa formation et du coup j’avais jamais eu l’idée de bosser dans la vidéo auparavant mais je me suis dit bon pourquoi pas aller voir bah ce qu’il propose comment ça se passe etc.
Et j’ai vu que c’était possible de le financer grâce au CPF donc c’est là que je me suis dit que c’est assez intéressant car la vidéo ça m’a toujours intéressé mais bosser dedans je ne savais pas trop. Bref j’ai hésité un petit peu, j’ai pris le temps de réfléchir et en fin de compte en fait j’ai dit pourquoi pas, je prends et je verrais bien. J’ai acheté ma première caméra et en fait j’ai vraiment adoré. Donc je me suis dit c’est parti let’s go on y va.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
J’avais commencé la formation pendant bien 2 mois. Un petit peu après je l’avais arrêté car j’ai fait une saison d’été à Barcelone. Après je m’y suis vraiment mis dedans, j’ai vraiment commencé à acheter mon matériel.
Mais c’est vrai que ça s’est enchaîné assez rapidement. J’ai lancé mon activité en février 2021 il me semble et à partir de mars, avril ça n’a pas arrêté.
J’ai fait une vidéo gratuite pour ma salle de sport qui m’a trouvé d’autres contrats jusqu’à aujourd’hui où je suis parti à Bali 5 mois pour faire de la vidéo. J’ai trouvé aussi des contrats sur place.
Ça c’est fait vraiment au bouche à oreille.
Je suis passé un petit peu par tous les différents secteurs en fait j’ai fait des mariages des aftermovies, plein de choses car il fallait vraiment que je fasse pour voir si c’est quelque chose que je pouvais potentiellement aimer. Je pense aussi qu’il faut passer par là, il faut passer des projets qui ne nous intéressent pas forcément aussi.
Aujourd’hui je commence un petit peu à savoir ce qui me plaît et c’est pour ça que je peux commencer à sélectionner un petit peu les projets.
Quand je suis parti à Bali j’ai compris qu’il y avait énormément de potentiel dans la vidéo. D’ailleurs juste avant de rentrer j’ai fait un reportage à Sumbawa.
On a eu l’opportunité de travailler avec un ami, d’aller à la rencontre des locaux et de faire un reportage sur place donc ça, c’est vraiment quelque chose que j’ai vraiment adoré faire professionnellement mais aussi personnellement.
Je pense voyage c’est vraiment ce qui me fait kiffer et là cet été je pars à Barcelone faire de l’évènementiel donc aller filmer tous les évènements festifs sur place donc ça aussi c’est quelque chose qui m’intéresse bien.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
Déjà pour dire moi avant de commencer la formation JC Pieri je ne connaissais absolument rien à la vidéo, je ne savais pas me servir d’une caméra, rien du tout.
Ce qui est intéressant dans la formation de JC c’est que justement comme c’est par module et qu’en fait on peut sélectionner un petit peu ce que l’on veut. J’ai pris vraiment ce qui m’intéressait et ce qui pourrait vraiment m’aider à lancer mon activité.
Et ce qui est vraiment bien c’est que : d’une c’est bien expliqué et également en fait si jamais on n’a pas compris quelque chose on peut revenir dessus pour vraiment apprendre de la bonne façon quoi.
Donc d’une part ça et en plus ce qui est intéressant c’est que vraiment y’a des modules sur le développement de l’entreprise, donc comment démarcher etc. donc ça c’est très intéressant aussi. Et également ce qui m’a beaucoup aidé en l’occurrence j’ai eu un mariage. Et en fait ça c’est vraiment quelque chose d’assez stressant pour un vidéaste et je pense qu’il faut passer par là faire un mariage au moins une fois dans sa vie.
Et en fait y’a un module là-dessus qui explique vraiment toutes les étapes, les choses à ne pas louper etc.
Donc vraiment ça rassure et ça nous met dans les bonnes conditions pour les prestations.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Franchement c’est quelque chose qui est assez accessible car on peut la financer grâce au CPF après même si on n’a pas de CPF je pense que c’est intéressant pour une personne qui veut apprendre le milieu de la vidéo qu’il soit débutant ou confirmé y’a toujours quelque chose à apprendre vu qu’il y a énormément de modules.
Ce qui est intéressant aussi c’est que la formation est évolutive. Il rajoute des modules constamment en fait sur pleins de choses variées : ça peut être niveau professionnel, y’a même eu un module sur le développement personnel donc en fait c’est vraiment très très varié et je pense que toute personne confirmée ou amateur peut s’en servir pour s’améliorer et apprendre des choses.
Après moi j’ai joué un peu la carte de la sécurité quand je me suis lancé parce que j’avais travaillé quand même pas mal de temps avant donc j’avais cumulé le maximum de droits au chômage. Forcément j’ai eu des mois où j’ai gagné des mois et du coup j’ai perçu un peu. Donc ça, c’est très très intéressant pour les personnes qui ont travaillé suffisamment pour cumuler du chômage sinon après ce que je conseille c’est d’avoir un part time comme ça au moins on a une sécurité derrière.
Harold C.
Son travail : globedroners.com
Élève depuis juillet 2022. Pau.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Moi de base je suis opticien puis j’ai voulu me reconvertir. En décembre 2021 mon objectif c’était de vivre comme télépilote de drone.
Rapidement je me suis rendu compte qu’avoir seulement le drone ça ne suffisait pas, je ne réussissais pas à trouver de client et j’ai eu la chance via un ami de faire des vidéos au sol.
Je pars presque de zéro dans la vidéo avec une caméra tout simplement. J’ai dû me former très très vite et c’est pour ça que j’ai pris la formation de JC.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Pendant 6 mois j’avais un contrat avec une agence qui crée des sites internet et qui faisait appel à moi pour créer de petites vidéos vitrines pour des entreprises. C’était 400€ la vidéo, c’est-à-dire pas grand-chose, mais au moins ça m’a permis de faire la main grâce à la formation et grâce à l’expérience que j’ai acquise là-dedans. C’était très classique : je faisais du run & gun, j’arrivais, je découvrais le lieu, je faisais la vidéo, je repartais 3 heures plus tard.
En mars 2023 j’ai signé un beau contrat avec une grosse boulangerie de ma ville. C’est un contrat à 1500€ mensuels et grâce à ça je vis de la vidéo aujourd’hui. Les gars sont ultra-motivés, actuellement ils passent sur la meilleure boulangerie de France et le but c’était d’avoir du contenu pro quand ils commençaient à être visibles. Ça a été un contact de dingue : je les ai contactés, la semaine d’après j’avais un rdv avec eux, la semaine d’après je commençais à travailler avec eux.
Aujourd’hui mon objectif c’est de trouver un ou 2 clients réguliers supplémentaires pour avoir des revenus stables même si je perds un client. J’espère l’accomplir à court terme avec l’agence immobilière avec laquelle je suis en contact actuellement.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
Les premières choses que ça m’a aidé à faire clairement c’est de me sentir plus à l’aise sur le terrain. Clairement j’avais ce syndrome de l’imposteur je ne comprenais pas ce que je faisais là-dedans.
JC m’a beaucoup aidé au début pour la confiance en soi et la prospection. Savoir proposer quelque chose de professionnel avec tout ce qu’il faut.
Quand on se lance à son compte on est seul. On travaille chez soi la plupart du temps, on a énormément de refus dans notre prospection. La partie développement personnelle permet quand même de se rebooster.
Clairement la formation ça m’a apporté une confiance en moi ça m’a permis de découvrir les différentes activités de me motiver à pratiquer. Sans ça, d’un point de vue vidéo c’était impossible pour moi. J’aurais jamais pu tenir le rythme comme y’avait beaucoup trop de choses à apprendre, beaucoup de choses à intégrer pour pouvoir faire ça.
La formation a vraiment été une bonne accroche sinon j’étais mort.
Aujourd’hui je m’en sers encore comme une petite base de données dès que j’ai des nouvelles missions et pour me rafraîchir la tête à chaque fois que j’ai un nouveau projet. Par exemple, je suis en contact avec une agence immo de luxe et avant d’aller les voir, je peux aller voir quelques modules de la formation.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Pour moi ça paraît acquis qu’il faut se former dans ce métier surtout qu’on est à notre compte on est tout seul donc si on n’est pas formé, si on ne se perfectionne pas je ne vois pas comment ça peut marcher.
Sans cette formation je serais allé droit dans le mur. En tant que vidéaste on est obligé de se former au quotidien. Ce qui est cool dans la formation c’est que y’a des nouveaux modules qui peuvent être rajoutés régulièrement donc y’a toujours des choses à prendre et à apprendre.
L’un des points positifs de la formation aussi je trouve ce sont les réseaux sociaux. Le groupe Facebook y’a souvent des demandes on peut envoyer nos vidéos ça, c’est quand même très intéressant. Montrer nos vidéos à des personnes du milieu et pas du milieu, on n’a pas du tout les mêmes retours, on a pas du tout le même recul et ça, je trouve ça très utile.
Florian A.
Son travail : oznek
Élève depuis 2021. Marseille.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
Quand j’ai rejoint la formation de JC, j’étais salarié, je travaillais dans le social à Airbus Hélicoptère à Marignane.
Mon grand-père est photographe de passion et il m’avait filé un boîtier à l’époque. Mais ça m’avait gonflé, je l’ai rangé c’est resté dans la chambre.
Puis pendant le confinement j’étais en train de péter un plomb et j’ai posé le regard dessus. Je me suis dit c’est un truc sympa du coup totalement autodidacte je me suis lancé avec Youtube.
Après le confinement je me suis lancé un défi. Je me suis dit tu vas faire des photos pendant 1 an tous les jours. Je suis en garde alternée et du coup les semaines où je n’avais pas mon fils je partais tous les jours faire des photos, les semaines ou j’avais mon fils le soir après le travail quand il était couché j’apprenais la post-production sur Lightroom.
Puis j’ai commencé à entendre parler de JC étant à Marseille et j’ai été ciblé par une Ads. Ça m’a plu et c’est surtout l’idée du CPF qui m’a intéressé.
J’ai craqué le CPF pour JC et c’est sûrement l’une des meilleures décisions de ma vie parce que ça m’a permis de me lancer.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Donc j’ai rejoint la formation peut-être au bout de 4-5 mois de photos. Les résultats, pour moi en tout cas, ça a été instantané parce que j’étais bridé sur Youtube. Je trouvais plus forcément ce dont j’avais besoin et j’avais besoin d’engranger de la technique.
En septembre 2022 j’ai fait une rupture conventionnelle et j’ai rejoint 2 amis d’enfance qui ont lancé à l’époque une agence de marketing d’influence.
Je suis co-associé et je suis en charge de toute la partie audiovisuelle de l’agence South Management. Je fais des vidéos et des photos tous les jours car c’est mon métier mais je me considère plus comme un entrepreneur.
J’ai mon perso à côté aussi en freelance mais la majeure partie du temps c’est pour l’agence. La semaine dernière j’ai fait 35-40 heures de tournages en 4 jours pour un créateur de contenu qui a 2,1 millions d’abonnés sur Tiktok. C’est pour une série privée qui sera payante sur Tiktok. Le format Reels c’est bien mais t’as envie d’aller un peu plus loin. Maintenant je veux lancer des courts métrages. Je suis en train d’écrire des scripts.
J’ai réalisé un premier vernissage en mars 2023 dans une galerie de 300 m2 avenue piétonne. J’avais à peu près une trentaine d’œuvres exposées. Là le but c’est de refaire une exposition dans l’année sur Marseille en A3 uniquement.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
Déjà la formation m’a permis de consolider toutes les bases que j’avais pu chopper sur Youtube. Et en fait ce que j’ai aimé dans la formation de JC c’est la diversité dans le contenu qu’il peut avoir.
Tu veux taper de l’automobile tu vas avoir de l’automobile, tu veux taper de la longue exposition tu as de la longue exposition. Tu veux connaître un peu le matos, comment se passe le stockage parce que c’est une question qui se pose très vite et tu te dis est ce que je dois faire des doublons, pas des doublons, comment je fonctionne, est ce que ça va me coûter une blinde ? En fait, ce qui est bien c’est qu’il t’aiguille absolument sur tout.
Pour moi c’est une formation complète et surtout le fait de l’avoir à vie et de voir qu’il rajoute du contenu c’est juste incroyable. Le système scolaire n’a jamais été fait pour moi. Je ne suis pas fait pour écouter quelqu’un me parler pendant des heures ça ne fonctionne pas. Moi j’ai besoin de toucher ce que je fais.
Ce dont j’ai besoin c’est que quelqu’un m’explique la technicité que je n’ai pas et après derrière je la retranscris je la reproduis. Et ça collait parfaitement au fait que je faisais des photos pratiquement tous les jours à cette période-là. Du coup tu bouffes de la vidéo et tu retranscris simplement ce qu’il t’a expliqué derrière toi sur le terrain avec ta vision des choses, ton œil, et puis après ça va tout seul.
Donc ça m’a permis de prendre confiance en moi. Ça m’a aidé à me rendre compte que j’avais peut-être un talent. Et surtout cette montée en compétences très rapide parce que tu as tous les outils à disposition. Après il faut y aller mais en tout cas moi j’y suis allé et du derrière ça marche super bien.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Dans un premier temps, que ce sera un gain de temps et aujourd’hui le temps c’est précieux.
Deuxièmement qu’aujourd’hui si t’as déjà un permis de conduire, ton CPF te sert à rien donc autant l’utiliser de manière intelligente et pas avec des formations à la con que tu vas trouver à 500 balles. Parce que j’ai pu voir le contenu de formations qui coûtent 500 balles sur Photoshop c’est ridicule de voir ce qu’ils proposent à côté.
Franchement plus complet que ça dans le métier je pense que je n’en ai pas encore trouvé et c’est difficile de faire mieux. Donc si tu veux te lancer dans le métier de vidéaste photographe à un moment donné dans ta vie, même en étant autodidacte tu as besoin d’être épaulé par quelqu’un qui a plus d’expérience que toi si tu veux prétendre un jour faire de grandes choses.
Et pour moi la formation de JC c’est sûrement la meilleure opportunité qui s’ouvrira à toi.
Moi j’ai été papa à 17 ans et à 17 ans je pensais que ma vie professionnelle était camisolée jusqu’à la fin de ma vie car j’ai dû trouver de l’argent tout de suite et j’ai pas forcément fait des métiers qui me passionnaient.
J’aurais jamais réellement pensé pouvoir être comblé au travail. Alors ce n’est pas grâce à JC non plus mais surtout grâce à mon grand-père qui m’a donné ce boîtier à un moment donné mais je pense que si JC n’avait pas lancé cette formation ça n’aurait peut-être pas mis si peu de temps à ce que je saute le pas de l’entrepreneuriat.
Et aujourd’hui si j’ai pu avoir cette montée en compétences aussi rapide c’est grâce à cette formation. C’est aussi parce que j’ai charbonné comme un enfoiré on ne va pas se mentir mais c’est vraiment JC qui a pu m’épauler dans ce charbon brut où j’y allais sans regarder les heures. C’est important de croire en ses rêves et JC m’a aidé à croire en mes rêves et aujourd’hui je le remercie.
Anthony P.
Son travail : mmix_studio
Élève depuis début 2020. Bordeaux.
Est-ce que tu peux te présenter et nous décrire ta situation avant d’entendre parler de JC Pieri formation ?
J’ai 32 ans. J’ai rejoint la formation au début du confinement et j’ai lancé mon entreprise de vidéo début 2021.
J’ai beaucoup fait de vidéo en tant que passionné, surtout pour le voyage quand je partais et forcément JC c’était un peu mon exemple. Je m’inspirais de lui. Et après, au fur et à mesure je me suis dit moi aussi j’aimerais bien me lancer à mon compte avec ma passion de la vidéo et ça correspondait avec JC qui lançait la formation donc c’est pour ça que je n’ai pas hésité dès que c’est sorti.
J’étais déjà à mon compte mais pour une autre activité et donc j’ai fait la formation et au fur et à mesure j’ai diminué mon autre activité pour la remplacer par la vidéo.
Qu’est-ce que tu as accompli depuis la formation ?
Aujourd’hui je vis de la vidéo à 80% mais c’est étalé sur 2 ans jusqu’à aujourd’hui. Il me manque encore quelques clients pour ne faire plus que ça.
J’ai commencé par des amis en leur proposant mes services comme quoi je débutais et ils ont vu ma vidéo, ça a tourné, ça a plu au client qui m’a contacté et ça a fait boule de neige. J’ai fait pas mal dans l’automobile.
Aujourd’hui je participe à des évènements avec de super voitures par exemple. Aussi pas mal dans le sport, des compétitions de crossfit notamment.
Dernier gros projet, j’ai réalisé un clip vidéo musical qui passe à la télé. C’est le chanteur Axel Tony, c’est du zouk ce n’est pas forcément mon genre musical mais le clip va aller tranquillement vers les 400-500’000 vues comme ses autres chansons [le clip ‘Besoin de Toi’ a fait 152’000 vues en 2 semaines sur Youtube]. On m’a appelé j’ai rempli le cahier des charges et ça, c’est très bien passé. C’était aussi mettre un pied dans le clip et les grosses productions car j’avais une équipe à gérer du coup donc pas de mal de pression mais ça, c’est très bien passé.
Ce que j’ai pour ambition c’est d’avoir mon propre studio, ma propre équipe pour pouvoir réaliser des projets un peu plus importants parce que je me rends qu’à force tout seul c’est compliqué. Je suis à la fois cadreur, monteur, réalisateur, étalonneur, sound designer en fait y’a plein de sous-métiers comme ça et tout seul ça commence à être un peu compliqué. Donc j’aimerais un peu déléguer tout ça et avoir une équipe avec moi.
Je me suis directement mis l’objectif d’avoir mon studio donc j’ai commencé avec ce nom MMix Studio, me mettre la pression comme ça, je sais où je veux aller.
Comment la formation t’a aidé à réaliser ça ?
J’ai surtout poncé la formation vidéo pour justement tout le côté technique, vraiment rentrer en profondeur parce que sur Youtube c’est bien gentil mais ça reste surtout pour les débutants et à la surface. Là on rentrait vraiment dans les choses bien spécifiques avec les problématiques qu’on peut rencontrer sur un tournage donc ça m’a vraiment aidé dans ce sens-là.
Et ce qui est bien c’est qu’à peine un module terminé y’en a 2 autres qui se rajoutent. En fait c’est évolutif donc y’a toujours des choses à apprendre et on a toujours des choses à apprendre dans ce métier. J’ai fait ça pendant un mois puis arrêté la formation, ça m’a suivi tout au long et même maintenant avant un tournage je me rafraîchis la mémoire sur des modules, je me note des choses.
Ça m’a aidé dans le sens : un peu la bible du vidéaste, j’avais ça sous le coude et je savais qu’à tout moment je pouvais regarder si j’avais une question.
Qu’est-ce que tu dirais à quelqu’un qui réfléchit à rejoindre la formation ?
Regarder les vidéos de JC et si on aime bien grâce à la formation on peut arriver à ce résultat. Franchement il est très pédagogue, les modules sont trop bien organisés et puis c’est possible d’en vivre après la formation et sachant que ça évolue continuellement donc y’a toujours des choses à apprendre dans les modules donc ça nous suit en fait tout le temps.